L’IMD accrédité comme institut universitaire

Le Conseil suisse d’accréditation (CSA) a accordé à l’IMD l’accréditation institutionnelle en tant qu’institut universitaire, renforçant l’appartenance de l’IMD au sein de l’écosystème helvétique et consolidant sa réputation en tant qu’haute école suisse.

“Nous apprécions cette reconnaissance et l’inclusion officielle dans le paysage de l’enseignement supérieur suisse. Nous nous réjouissons des possibilités qu’elle crée. Nous remercions le CSA, l’agence suisse d’accréditation et d’assurance qualité (AAQ) et les évaluateurs pour cette opportunité d’explorer, de réfléchir et de s’améliorer continuellement. Nous sommes également reconnaissants envers nos partenaires, alumni et collègues qui nous ont aidés à franchir cette étape. La qualité est une course sans ligne d’arrivée, et nous sommes engagés dans un processus de progrès continu vers un monde plus prospère, durable et inclusif”, relève Jean-François Manzoni, Président de l’IMD. 

L’IMD fait déjà partie du cercle restreint des institutions académiques dotées de la triple accréditation internationale (AACSB, EFMD EQUIS et AMBA) depuis de longues années. Ces labels internationaux permettent notamment de maintenir un niveau d’excellence en termes d’enseignement et de recherche, de développer une image forte à l’international et d’attirer des étudiants. En 2015, la loi sur l’encouragement et la coordination des hautes écoles (LEHE) est entrée en vigueur en Suisse. Elle permet entre autres d’harmoniser la structure des études selon des appellations contrôlées (universités, hautes écoles spécialisées et hautes écoles pédagogiques). Les établissements privés ne sont pas tenus d’être accrédités, mais l’IMD, une fondation suisse, a choisi de poursuivre cette procédure d’accréditation institutionnelle pour obtenir cette reconnaissance alignée à sa stratégie.

Evaluation interne et externe

L’accréditation a été obtenue après un parcours en plusieurs étapes qui a débuté en 2020, en partenariat avec l’AAQ. Il s’agissait d’une autoévaluation complète afin de rédiger un rapport se basant sur 18 standards dans cinq dimensions : la stratégie en matière d’assurance de la qualité ; la gouvernance ; l’enseignement, la recherche et les prestations de services ; les ressources ; la communication interne et externe.